Alger est une métropole complexe mais aussi une ville très simple à saisir : la baie en faucille, la cité accrochée au-dessus d’un petit port et des promontoires assurent une bonne protection.
Ses étendus à l’Est, à l’Ouest en ramifications latérales amplifient l’impression de grandeur.
La ville d’Alger est un labyrinthe de ruelles et d’impasses ; les escaliers, très nombreux et très variés (larges, étroits, hauts…) sont très pratiques pour sillonner cette architecture en cascades. Alger la perle de la méditerranée.
Sur le flanc de la ville en forme de triangle « La Casbah » Elle constitue la vieille ville la d’Alger, la cité turque A l’origine le mot « casbah » désignait la citadelle qui surplombait la ville « la médina », peu à peu le terme engloba la cité elle-même.
Les remparts qui protégeaient la Casbah, ainsi que le haut et le bas de la cité ont aujourd’hui disparus. « Construisant leur casbah, les anciens avaient atteint au chef-d’oeuvre d’architecture et d’urbanisme » disait le Corbusier.
En effet, cette masse compacte au coeur d’Alger ne cesse d’émerveiller et de surprendre. Accrochées à flanc de colline, les maisons se superposent, les terrasses dominent d’autres terrasses où, sur fond de mer, la casbah un véritable labyrinthe, où l’on a plaisir à se perdre.